Un terrain de jeu fabuleux et plein d’avenir
Le futur des Hautes Côtes, c’est d’aller plus loin dans la révélation de ses terroirs
La renaissance des Hautes Cotes date des années 1960. En effet le vignoble y était très important jusqu’en 1890, date à laquelle le phylloxéra fit des ravages. La surface en vigne à Nantoux était 3 fois plus importante avant le phylloxéra, et seuls les meilleurs terroirs ont été replantés.
Les Hautes Cotes sont une région singulière par rapport à la Côte, c’est un terroir avec de la diversité : plusieurs expositions, plusieurs altitudes, plusieurs types de cultures (vignes, moutons, vaches, polyculture) et des zones naturelles (forêts, pelouses calcaire).
Le réchauffement climatique offre aux Hautes Cotes le climat dont bénéficiaient la Cote de Beaune et de Nuits dans les années 1980. Ce climat permet de produire des vins fins, sans trop d’alcool, avec de belles acidités, et de la maturité fine.
Le futur des Hautes Côtes, c’est d’aller plus loin dans la révélation de ses terroirs qui ne sont pas encore assez mis assez en avant, c’est ce que nous faisons avec nos terroirs de Montagne de Cras, Le Clou, Bignon et d’autres dans le futur !
Un environnement préservé à côté d’une Zone Natura 2000
Le domaine et nos vignes touchent la zone protégée Natura 2000 « Arrière Côte de Dijon et de Beaune ». Nous considérons que c’est une grande chance, une garantie de rester dans un milieu naturel avec un écosystème protégé.
On y trouve notamment deux espèces de rapaces remarquables. La première est le hibou grand duc, un des plus grands rapaces nocturnes du monde. L’autre est le Circaète Jean Le Blanc, rapace migrateur venant d’Afrique, appelé autrefois « Aigle de Bourgogne ». Cette espèce phare de la zone Natura 2000 survole nos collines d’avril à octobre environ, c’est pourquoi elle apparait sur nos étiquettes.